Conseils pour organiser votre voyage en Nouvelle Zélande

Avant de partir en voyage, il est important de regarder les différentes modalités administratives pour entrer dans le pays de destination. Pour la Nouvelle Zélande, il vous faudra votre passeport valide et un visa selon votre motif de voyage. Pour les voyages touristiques de moins de 3 mois, il faut avoir un visa spécifique NZeTA qui vous coûtera 52 dollars si vous passez par l’application NZeTA ou 58 dollars par le site. Dans le prix est compris le coût du visa ainsi que qu’une taxe associée au développement durable. Plus d’information sur le site officiel : https://nzeta.immigration.govt.nz ! Sur le site officiel, vous trouverez aussi les visas spécifiques pour les PVT (passeport Vacances Travail), les expatriés etc.

Faites attention aussi aux pays escales où vous allez vous arrêter avant d’arriver en Nouvelle Zélande. Par exemple, nous sommes passés en escale par les États Unis et San Francisco et il nous fallait absolument le visa ESTA ( https://esta.cbp.dhs.gov ) pour passer les contrôles aux USA.

Lors de notre passage, il n’y avait plus besoin de certificats ou tests PCR pour entrer sur le territoire de Nouvelle Zélande mais selon vos escales cela pourra vous être demandé. Pour notre cas, on nous l’a demandé à Paris pour nos escales aux USA et à Tahiti.

Même si ce n’est pas obligatoire lors d’un voyage en Nouvelle Zélande, nous avons souscrit à une assurance voyage pour toute la durée de notre séjour avec Chapka Assurances.

Nous avons pris l’assurance « Cap Assistance » pour les séjours de moins de 3 mois et qui permet une assistance complète et une assurance rapatriement, voici les conditions en cliquant ICI !

Chapka Assurances est spécialisée dans l’assurance voyage pour vos différents voyages : Vacances & séjours de moins de 3 mois, Tour du monde et longs séjours, PVT (Passeport Vacances Travail), stages, au pair, études à l’étranger, expatriés et voyages d’affaires.

Pour les courts séjours, nous faisions habituellement confiance à notre carte Gold mais il est intéressant de regarder le comparatif entre Chapka Assurances et la carte Gold pour prendre sa décision. Plus d’information en cliquant ICI !

Voici notre budget pour notre voyage de 5 semaines en Nouvelle Zélande en mode roadtrip :

Au niveau de notre ressenti sur ce budget, nous nous attendions à moins élevé avant de partir mais c’est vrai que les prix étaient plus importants sur plusieurs posts notamment les logements. Nous avons réussi à économiser en dormant dans notre voiture et en faisant des campings. Il faut savoir que nous étions aussi en Nouvelle Zélande au mois de février donc dans la période la plus forte touristiquement parlant. Notamment sur la location de van que nous avions prévue au début et qui explosait notre budget à ce moment de l’année et que nous avons donc abandonnée à la place de la voiture de location.

La création de son itinéraire en Nouvelle Zélande est importante car il va vous permettre de perdre le moins de temps possible. Il est possible de visiter la Nouvelle Zélande que vous ayez 2 semaines, 1 mois ou 6 mois. Selon le temps sur place, il faudra sans doute faire des choix. On vous conseille aussi de garder de la flexibilité car la météo peut être capricieuse ici. Pour un voyage basique, nous pensons que 6 semaines est un bon timing pour prendre son temps et pouvoir découvrir la grande majorité des points d’intérêts sur les deux îles. De notre côté en 1 mois, nous avons réussi à faire déjà une bonne partie de l’île du nord excepté les alentours d’Hamilton et Napier mais nous avons dû faire pas mal de choix sur l’île du sud comme enlever de l’itinéraire la partie nord ouest avec le parc national Abel Tasman ou encore les alentours de Dunedin. Sur 2 semaines, nous vous conseillons de choisir l’une des deux îles dans votre itinéraire. Comme à chaque fois et pour profiter au maximum d’une destination, nous faisons en sorte de suivre le soleil et c’est ce que nous avons fait en Nouvelle Zélande.

Il y a plusieurs façons de faire votre itinéraire si vous souhaitez faire les deux îles. Soit vous faites une boucle comme nous avec le même point de départ et d’arrivée (par exemple depuis Auckland ou Christchurch) en louant un véhicule et en prenant le ferry entre l’île du nord et l’île du sud. Vous pouvez aussi faire deux roadtrip sur les deux îles en ne passant pas par le ferrry mais en prenant l’avion. Exemple : vous prenez votre voiture à Auckland puis vous la rendez à Wellington. Pour la partie île du nord. Vous faites le trajet Wellington – Christchurch en avion et vous faites un roadtrip en boucle depuis Christchurch pour l’île du sud.

Sachez aussi que les distances sont assez importantes. A peu près 1000 kms entre le point le plus haut et le point le plus bas de l’île du nord et la même chose pour l’île du sud. Nous avons fait plus de 8000 kilomètres sur 1 mois pour vous dire que vous passerez un peu de temps sur la route aussi.

Pour créer votre itinéraire en Nouvelle Zélande, vous pouvez vous inspirer du nôtre en cliquant ICI !

Les billets d’avion sont un point important car obligatoire pour venir découvrir la Nouvelle Zélande. Nous avons payé 1200 euros par personne notre vol aller (étant donné qu’on était en voyage de 3 mois en Océanie). Sachez que les prix ont pas mal augmentés et qu’il ne faut pas hésiter à vous y prendre à l’avance si vous connaissez en avance vos dates de voyage. Nous avons acheté nos billets environ 1 mois avant notre départ.

Autre point intéressant, il faut comparer chaque partie du globe pour faire le vol et bien choisir vos escales qui peuvent vous faire faire quelques économies. Par exemple, nous avions gagné quelques centaines d’euros en passant par l’ouest c’est à dire en faisant escale à San Francisco et Tahiti avant d’arriver en Nouvelle Zélande. Étant flexible, nous en avions même profité pour rester 2/3 jours à Tahiti pour avoir les meilleurs prix. Mais cela dépend des saisons, de l’évolution des prix des vols etc. Il y a aussi possibilité de faire des escales au Moyen Orient (Dubai, Abu d’Abhi…) ou en Asie (Thailande, Corée, Japon) ou encore l’Australie.

Nous avons l’habitude de comparer les prix des billets d’avion sur Skyscanner puis de les prendre directement sur les sites des compagnies aériennes ou sur le site Ulysse.

En arrivant en Nouvelle Zélande, vous arriverez dans un des aéroports internationaux. Nous sommes arrivés à Auckland qui est un aéroport plutôt à taille humaine et assez récent. Vous devrez remplir une feuille dans l’avion pour savoir si vous avez des choses à déclarer, votre identité, la raison de votre voyage et les modalités basiques.

La première chose est que le contrôle du passeport se fait sur des bornes automatiques si vous êtes français ce qui fait gagner pas mal de temps.

La deuxième chose est qu’au niveau de la douane, vous aurez une file « rien à déclarer » et une file « j’ai des choses à déclarer ». Sachez qu’en Nouvelle Zélande, ils sont assez stricts sur les choses à apporter (nourriture ou autres) et même sur les bactéries que vous pourriez ramener sur vos chaussures ou vêtements. Le fait que la Nouvelle Zélande soit une île, il ne rigole pas avec ça. Par exemple, nous avions des chaussures de randonnée et des bâtons de randonnée. Nous avons préféré les déclarer pour qu’ils vérifient que tout était ok. Rien de spécial, ils ont juste regardé et nous ont dit ça a l’air clean donc vous pouvez y aller. Par acquis de conscience, on vous conseille si vous avez le moindre doute par rapport à leur questionnaire sur les choses à déclarer à prendre la file et voir si tout est ok. Pour vous rassurer aussi, les douanes en Nouvelle Zélande sont bienveillantes et c’est toujours agréable.

Depuis l’aéroport, vous avez le choix pour rejoindre la ville entre le bus, les taxis ou les Uber. Pour information, le prix du trajet en Uber entre l’aéroport d’Auckland et le centre ville était de 52 dollars c’est à dire environ 30 euros.

La location d’un véhicule en Nouvelle Zélande est quasiment indispensable si vous souhaitez découvrir le pays, et avoir cette liberté de profiter au maximum.

De notre côté, nous avons loué une voiture Mitsubishi Outlander avec le comparateur BSP Auto pour 2300 euros (assurance comprise) tout au long de notre roadtrip c’est à dire 1 mois. Le top est que BSP Auto nous a fait l’intermédiaire avec l’agence Europcar sur place qui est bien réputée. Nous avons récupéré et redonner la voiture directement à l’aéroport d’Auckland. Nous avions loué une voiture assez imposante et spacieuse pour pouvoir aussi dormir dedans. Notre voiture s’est donc transformé en un véritable compagnon de voyage où l’on roulait et dormait dedans. Nous l’avons aménagé en baissant les sièges de derrière et en intégrant un matelas, des coussins et une couette que nous avons acheté une centaine d’euro dans le magasin Kmart. Un très bon plan qui nous a permis de faire de belles économies par rapport à un van même si nous avions moins de confort et que nous devions dormir en grande partie dans les campings.

Le plan initial était de faire un roadtrip vanlife en Nouvelle Zélande. Mais nous nous y sommes pris trop tard en terme de timing et nous étions dans une forte période où il y avait plus de demandes que d’offres. Le prix le plus attractif que nous avions eu pour un mois de location d’un fourgon aménagé était de 8000 euros avec toutes les assurances. Nous n’avions pas trop le choix de modèles et les autres prix moins chers concernaient des véhicules aménagés entre la voiture et le van. Donc notre meilleur conseil si vous souhaitez louer un van ou un camping car en Nouvelle Zélande est de s’y prendre tôt surtout si vous avez l’intention de venir en haute saison pour avoir des prix plus raisonnables. Entre deux saisons, les prix devraient être beaucoup moins importants aussi. Si vous louez un van, un camping car ou autres véhicules aménagés faites en sorte qu’il soit self-contained ce qui veut dire qu’il est autonome au niveau des toilettes. Cela vous permettra de faire du camping sauvage dans plein d’endroits et de spots réservés à ce type de véhicule. Les emplacements self-contained sont gratuits et il n’est pas rare de trouver quelques petites.

Le permis international est obligatoire en Nouvelle Zélande pour pouvoir conduire dans le pays. Point très important, les délais d’attente en France pour obtenir le permis international sont très longs de plus ou moins 6 mois alors n’hésitez pas à faire la demande le plus tôt possible. Il est valable 2 ans et il est totalement gratuit.

Si vous ne recevez pas à temps votre permis international, il vous reste une dernière solution : la traduction de votre permis sur place en Nouvelle Zélande. Il y a pas mal d’entreprises qui le propose notamment dans les grandes villes comme Auckland et il vous en coûtera environ 50 dollars. Vérifiez bien que la traduction est éligible pour les traductions des permis français et surtout éligible par le gouvernement de Nouvelle Zélande.

Maintenant que vous avez un véhicule, il est toujours sympa de connaître combien pourrait vous coûter vos pleins d’essence. La majorité des véhicules sont en sans plomb 91 et les stations services sont disséminées un peu partout dans le pays comme en France. L’essence coûtait lors de notre voyage entre 2,16 dollars et 2,80 dollars. Tout va dépendre de l’endroit où vous allez faire le plein mais aussi des stations que vous allez choisir. Nous avions remarqué que les stations « Waitomo », « Gas » ou encore « Pak’ n Drive » étaient souvent moins chers par rapport aux autres. Les stations service ne sont pas encore aussi développées qu’en France avec le paiement par carte bancaire directement à la borne même si il y en avait un peu. La plupart du temps, il fallait appuyer sur l’écran du montant que vous voulez mettre ou appuyer sur « fill » pour faire le plein. Puis après, il faut aller payer directement à l’intérieur de la boutique de la station.

Il y a pas mal de choses à raconter sur les routes en Nouvelle Zélande. Déjà, nous avons trouvé que beaucoup d’endroits sont en travaux dans tout le pays et il peut donc y avoir quelques ralentissements. Cela veut aussi dire que les routes sont quand même plutôt bien entretenues. Point positif, il y a très peu de péages et il est facile de faire le roadtrip sans passer par aucune route payante. Dans le Northland sur l’île du nord et pas mal aussi sur les routes de l’île du sud, il y a des virages toutes les 5 minutes. Autant vous dire que pour les personnes malades en voiture c’est cadeau. Les limitations de vitesse sont souvent à 100 kms sur les routes nationales et départementales, ça fait bizarre au début.

En Nouvelle Zélande, vous roulez à gauche comme en Angleterre. Il y a un petit temps d’adaptation mais on s’y fait vite. Vous aurez l’occasion à plusieurs reprises de mettre vos essuies glaces au lieu du clignotant. Attention aux premiers matins de ne pas se remettre à droite quand on n’est pas réveillé (croyez en notre expérience ahah).

Les logements en Nouvelle Zélande sont assez chers et surtout nous avons trouvé qu’il n’y avait pas beaucoup de choix excepté dans les grandes villes. Nous avons fait quelques logements pendant le roadtrip et nous avons souvent été agréablement surpris. On peut d’ailleurs vous conseiller les hôtels Swiss Belsuites que l’on retrouve à plusieurs endroits sur l’île du nord et du sud et qui sont tops. Nous avons notamment testé celui d’Auckland et de Queenstown, de vraies pépites.

Étant donné que nous dormions dans notre voiture qui n’était pas Self-Contained (pas de toilettes dans notre voiture), nous avons dû passer la majorité de nos nuits dans des campings basiques. Nous prenions des sites sans électricités et selon les campings nous en avions entre 35 dollars et 65 dollars (le plus souvent entre 25 et 30 euros). Ce qui était sympa c’est que nous avions les douches chaudes, les espaces communs pour recharger notre matériel et faire la cuisine. Nous regardions les campings sur l’application CamperMate pour voir les avis et ce qui se rapprochait le plus de notre itinéraire. « Top 10 » est une franchise de camping que nous avons beaucoup faite et qui est souvent un très bon rapport qualité/prix.

Nous avons aussi eu l’occasion de faire du camping sauvage accessible à tous les véhicules même au véhicule non autonome comme nous (c’est à dire sans toilettes intégrés à notre voiture). L’avantage est que tout est gratuit et qu’il y a des toilettes sur place. Pour les douches ce n’est pas souvent le cas.

Les campings gérés par le DOC sont des endroits peu chers entre 5 et 20 dollars souvent près de parcs nationaux ou réserve avec des toilettes et le plus souvent des douches. Il est possible de réserver en ligne ou de payer sur place.

Enfin, il y a les campings sauvages pour les véhicules self-contained c’est à dire autonome avec des toilettes. Vous trouverez des spots un peu partout sur les deux îles de la Nouvelle Zélande, ils sont gratuits et il y a quelques pépites dans des endroits de rêve. Il peut y avoir des toilettes ou des douches mais c’est très rare sachant que ce sont des emplacements réservés pour les véhicules déjà autonomes.

On nous avait dit que la Nouvelle Zélande était un pays où le coût de la vie était élevé. Nous avons trouvé qu’il était à peu près comparable à celui de la France excepté sur certaines choses. Au début, nous faisons dans nos têtes la conversion 10 dollars égal 10 euros et on se disait c’est fou comment c’est cher. Mais quand tu remets la bonne conversion, ça reste cher mais pas autant qu’on le pensait. Même pour les activités, les logements ou la vie de tous les jours, c’est assez cher mais de plus en plus comparable à ce que nous pouvons voir aussi en France.

C’est très simple tout se fait par carte bancaire, nous n’avons même pas eu besoin de retirer de l’argent. Pour ne pas avoir de frais, nous vous conseillons de prendre une carte sans frais à l’international comme Boursorama Banque ou le Crédit Mutuel Ocean.

Après si vous préférez avoir un peu de cash pour être rassuré et au cas où, vous trouverez facilement des ATM. Vous aurez un peu de frais du fait de la banque néo-zélandaise.

Au niveau de la nourriture, il n’y a pas vraiment de spécialité en Nouvelle Zélande. Vous ne serez pas dépaysés ici et excepté quelques produits locaux on trouve aussi beaucoup de produits venant d’Australie. Les produits importés sont souvent plus chers donc si vous voulez prendre que des produits français par exemple les prix seront assez chers. Le fromage est souvent très cher pour les amateurs.

Pour faire très simple, il y a deux grandes enseignes de supermarchés dans les villes avec Countdown et New World. Dans les plus petites villes, c’est souvent l’enseigne FourSquare qui prend le relais et des épiceries.

Il y a 12h de décalage horaire avec la France. C’est pratique pour compter car quand il est 7h en France, il est 19h en Nouvelle Zélande. Autre point, on trouve que c’est plus facile de récupérer pour le décalage horaire aussi que quand il n’y a que 6h de décalage.

Sans surprise, en Nouvelle Zélande il parle en anglais. Un anglais plutôt compréhensible selon nous et ils sont patients donc c’est top.

La monnaie en Nouvelle Zélande est le dollar néo-zélandais. Pour aller très vite, il faut diviser par deux et se dire que c’est un petit peu plus pour voir à quoi ça correspond en euro. Pour plus de précision, télécharger une application de conversion c’est beaucoup plus simple.

On vous conseille vraiment de prendre un forfait pour avoir de la data si vous en avez besoin. De notre côté, nous avions gardé notre forfait FREE français qui nous permet en Nouvelle Zélande d’avoir 25Go de data par mois ainsi que les appels et SMS illimités vers la France et la Nouvelle Zélande (une aubaine pour 19,90). Sinon il y a aussi les forfaits et les cartes prépayées avec les opérateurs locaux comme Vodafone, Spark ou 2ndegrees.

Pour internet, vous avez aussi la Wifi qui se trouve dans tous les logements, camping et même dans certaines villes. Comme d’habitude la wifi est plus ou moins bonne selon les endroits et le signal. Dans certains campings, nous avons dû payer la wifi où elle était limitée.

Les néo-zélandais sont très gentils et bienveillants. On se sent bien en Nouvelle Zélande et c’est sans doute aussi grâce à eux. Notre anglais est vraiment mauvais donc nous n’avons pas fait 10000 rencontres mais à chaque fois il était curieux de connaître notre histoire tout en ayant un peu de timidité. Ils veulent faire plaisir, combien de fois on a eu la question si on voulait qu’on nous prenne en photo à deux alors qu’on avait rien demandé ou dans les campings les gens avant de jeter nous demandait si ça nous intéressait. Même à la queue des supermarchés, les gens nous tapaient la discute. Bref, ça fait toujours plaisir d’être dans ce genre de pays.

La nature est omniprésente en Nouvelle Zélande et c’est d’ailleurs ça caractéristique spécifique ou en tout cas celle que l’on aime le plus. En plus, il faut savoir que les néo-zélandais sont très attachés à leur pays et ils font tout pour le protéger au maximum. On le dit souvent mais la Nouvelle Zélande c’est la diversité des paysages, c’est l’immensité de la nature accessible gratuitement et plutôt facilement. On a été agréablement surpris par pas mal de choses, on aurait par exemple pas pensé voir une végétation aussi dense et diversifiée avec de la jungle, des palmiers, des forêts et tout ça en quelques kilomètres de distance. Les îles sont clairement en activité constante entre les volcans, les séismes et les conditions plus ou moins clémentes de la météo c’est ce qui en fait sa force mais aussi sa fragilité. Si vous aimez la nature, vous aimerez la Nouvelle Zélande

Les lois drone en Nouvelle Zélande ne sont pas trop spécifiées et il n’est pas facile de trouver des écrits concrets pour le loisir. On vous conseille de respecter les règles françaises en général. Vous verrez rapidement que quand vous n’avez pas le droit de mettre votre drone, des panneaux « no drone » sont assez distinctifs et mis en avant pour ne pas le mettre. On a beaucoup vu les panneaux d’interdiction dans l’île du sud que sur l’île du nord.

Nous avons fait la Nouvelle Zélande au mois de février et franchement on s’attendait à beaucoup plus de monde. Évidemment sur les points d’intérêts très touristiques comme la région de Taupo, Tongariro, Mont Cook, Queenstow ou encore Milford Sound, il y avait un peu plus de monde que sur les autres régions mais réellement on n’a pas été embêtés par le monde. On avait fait exprès d’arriver après les vacances scolaires qui finissaient autour du 30 janvier et ça a été bénéfique. Même pour les campings, on réservait le jour même ou de temps en temps on y allait comme ça sans réserver et pas de soucis particulier. Le Northland sur l’île du nord est l’un des endroits où il y avait le moins de monde et pourtant on a adoré cette région.

La météo est toujours aléatoire dans un pays. De notre côté, nous avons eu en majorité un super temps tout au long du roadtrip et nous avons fait en sorte de suivre le soleil le plus souvent possible. On a quand même eu un cyclone qui nous a bloqués 2/3 jours et un épisode de pluie qui nous a stoppés sur 2 jours aussi. Mais dites vous que sur un voyage de 37 jours c’est un bon ratio. La Nouvelle Zélande est un pays capricieux en termes de météo, on a entendu des gens qui ont eu 1 mois de pluie tout au long de leur roadtrip. L’année où on y était, ils n’ont pas été trop gâtés niveau météo. La meilleure période pour aller en Nouvelle Zélande reste entre octobre et mars. Mais il est possible de venir découvrir le pays toute l’année même si les conditions ne seront pas les mêmes.

C’est sans doute ce qu’on a le moins vu en Nouvelle Zélande. Excepté des otaries, nous n’avons pas été gâtés. Il est surtout possible de voir des dauphins, des baleines, des orques mais soit nous n’avons pas eu de chances soit ce n’était pas la bonne saison. Il y a aussi le fameux kiwi qui est l’anima emblématique de la Nouvelle Zélande et qu’il est très difficile à voir car visible de nuit et sans bruit. On a quand même vu pas mal d’oiseaux.

Les Sandflies ont été les bestioles qui nous ont le plus embêtés pendant notre voyage en Nouvelle Zélande. Des petites mouches qui viennent te piquer et qui te donnent envie de te gratter. Il y en a partout que ce soit sur les plages, en montagne ou autres. On a eu plus sur l’île du du Sud que sur l’île du nord. Rien de bien méchant mais c’est un peu le syndrome du moustique en Europe.

Il y a beaucoup de toilettes accessibles partout dans les villes ou dans les points touristiques gratuits et en libre service.

Attention pour l’électricité car il vous faudra un adaptateur néo-zélandais pour les prises françaises.